Une excursion fascinante à travers les incomparables collections personnelles de Warhol, du plus bizarre au plus éclairant. Andy Warhol (1928-1987) demeure une icône du XXe siècle et une figure majeure du mouvement Pop Art. Il était également un collectionneur obsessionnel de choses grandes et petites, ordinaires et décalées. Depuis 1994, le musée Andy Warhol a étudié et sauvegardé les archives de l'artiste, qui regroupent des centaines de milliers de ces objets, étranges, amusantes et poignantes. De ce tableau, beaucoup de ces éléments ont été recherchés et décrits dans ce livre pour la première fois. Écrit par Matt Wrbican, le chef de file de la collection personnelle de Warhol, A is for Archive présente une sélection de cette collection, mettant en lumière le travail et les motivations de l'artiste, ainsi que sa personnalité et sa vie privée. Le volume est organisé par ordre alphabétique, rendant hommage à l'utilisation par Warhol d'une structure alphabétique fantaisiste: «A is for Autograph» (une sélection d'objets signés, dont beaucoup ont influencé ses oeuvres les plus populaires), «F is for Fashion» (ses collections de bottes de cow- boy, cravates et vestes), «S est pour Stamp» (oeuvres d'art de Warhol et autres relatives aux timbres et envois postaux), et «Z est pour Zombie» (un regroupement de photographies et d'éphémères de Warhol sous divers déguisements : drag, robot, zombie, clown). Le livre présente également un essai perspicace du critique d'art et biographe de Warhol, Blake Gopnik. Pour les myriades de fans de Warhol et de son monde interrogateur, ce volume est essentiel et inoubliable.
A definitive resource, full of fresh insights and new revelations, on one of the most influential interwar artists This richly illustrated book offers a definitive new assessment of the oeuvre of Kurt Schwitters (1887-1948), a central figure of the interwar European avant-garde. Active as an artist, designer, publisher, performer, critic, poet, and playwright, Schwitters is best known for intimately scaled, materially rich collages and assemblages made from found objects-often refuse-that the artist described as having lost all contact with their role and history in the world at large. But as Graham Bader explores, such simple separation of art from life is precisely what Schwitters's "poisoned abstraction" calls into question.
Considering works reaching from Schwitters's earliest collage-based pieces of 1918-19, through his 1920s advertising designs, to his seminal environmental installation the Merzbau, Bader carefully unpacks the meaning behind such projects and sheds new light on the tumultuous historical conditions in which they were made. In the process, he reveals a new Schwitters-aesthetically committed and politically astute-for our time. This authoritative account reframes our understanding of Schwitters's multifaceted artistic practice and explores the complex entwinement of art, politics, and history in the modern period.