Design, architecture, photographie... Il est impossible de restreindre le travail de Charlotte Perriand (1903-1999) à un seul domaine d'expression. Créatrice d'avant-garde, elle rejoint dès 1927 Le Corbusier et devient responsable du mobilier et de l'équipement de l'habitation au sein de son atelier de la rue de Sèvres. Dans un esprit résolument opposé aux Arts décoratifs, ils y créeront, en collaboration avec Pierre Jeanneret, des meubles fondateurs du design moderne. Mais au -delà d'une recherche esthétique, cest une réflexion politique que mène Charlotte Perriand sur l'habitat, notamment sur la place des femmes dans le foyer. Tout au long de sa vie, elle travaillera avec les mêmes exigences:penser l'espace à partir de l'expérience humaine, s'inspirer des modes de vie et des cultures - en particulier japonaise - pour enrichir ses créations, concevoir l'architecture dans le respect de la nature et rendre accessible au plus grand nombre un véritable art de vivre. Laure Adler livre ici le portrait d'une femme libre, engagée et visionnaire, illustré par de nombreuses photographies issues des archives personnelles de la créatrice.
L'architecture quel intérêt? Changer sa façon de voir. L'architecture c'est quoi? Ils l'ont fait pour la première fois.Une approche rapide et claire de l'architecture contemporaine à travers ses grandes figures, ses inventions stylistiques et technologiques, les dates repères, les 20 architectes incontournables et leurs réalisations, etc.
Né d'une démarche originale, ce lexique visuel vous permettra de découvrir, de comprendre et d'apprécier les bâtiments qui nous entourent.
Cette nouvelle édition est enrichie des dernières innovations architecturales.Des photographies couleur et des dessins annotés illustrent et détaillent chaque type d'édifice, leurs structures, leurs matériaux et leurs détails architecturaux.Tous les grands types et styles de bâtiments sont abordés : des cathédrales aux gratte-ciel, de l'Antiquité à l'époque contemporaine.Un glossaire des termes architecturaux essentiels vient compléter l'ouvrage.
Née du souhait de Paul Claudel de rapprocher les cultures japonaise et française, la Villa Kujoyama à Kyoto est l'une des plus prestigieuses résidences d'artistes que la France administre à l'étranger. Elle célèbre ses lauréats et leurs collaborateurs japonais à l'occasion de son trentième anniversaire.Témoignage d'une histoire plurielle de la création contemporaine sous le prisme franco-japonais, l'ouvrage rassemble plus de 200 oeuvres originales d'une surprenante diversité, émanant d'artistes exerçant dans tous les champs de la création:romanciers, photographes, plasticiens, designers, vidéastes, performers, céramistes, typographes, musiciens, metteurs en scène, architectes... Depuis les hauteurs de la ville impériale millénaire, les 72 saisons que compte le calendrier traditionnel japonais sont comme une invitation adressée aux artistes en résidence à s'imprégner de l'impermanence de la nature et de la vie dans leur processus de recherche et de création.
De la grande pyramide de Gizeh au Guggenheim Museum à Bilbao en passant par la Sagrada Família à Barcelone et l'opéra de Sydney, cet ouvrage explore, à travers 50 monuments emblématiques, les styles, les éléments architecturaux et les matériaux qui font l'histoire de l'architecture.
Des pyramides d'Égypte aux Bains des Docks du Havre de Jean Nouvel, du Taj Mahal au Palais d'Hiver de Saint-Pétersbourg, du musée Guggenheim de Bilbao au stade olympique de Pékin, cet ouvrage rassemble dans une même chronologie toutes les régions du monde et toutes les cultures. Temples, cathédrales, musées, palais, châteaux, hôtels, aéroports, maisons privées, constructions de pierre, de marbre, de bois, d'acier, de béton... Ce sont 1 001 lieux à découvrir, grandioses ou intimes, à travers 100 pays différents à travers le monde.
Une façon nouvelle, destinée au grand public, de découvrir ce mouvement majeur de l'art total Héritier des courants d'avant-garde, le Bauhaus représente au XXe siècle la référence fondamentale pour tous les mouvements innovants dans le domaine du design et de l'architecture à travers la voix de ses maîtres comme Klee, Kandinsky, Albers, Mies van der Rohe...
Ce roman graphique, composé de trois chapitres, raconte son histoire de sa création à Weimar par Gropius en 1919 à la fin de la Première Guerre mondiale, jusqu'à son déménagement en 1925 à Dessau et sa fermeture par les nazis à Berlin en 1933.
Dans l'entre-deux-guerres, une architecture nouvelle s'affirme, portée par une génération qui revendique haut et fort sa modernité, laquelle connaîtra des traductions très diverses. Mais les jeunes architectes ont en partage le rejet de l'académisme, du classicisme et du pittoresque.
Privilégiant les formes primaires, l'expression de la fonction des différentes parties du bâtiment, les matériaux comme le béton, le verre ou l'acier, le plan libre, le toit-terrasse et la couleur blanche, l'avant-garde s'incarne dans les noms de Le Corbusier, bien sûr, mais aussi d'Auguste Perret, de Robert Mallet-Stevens, d'André Lurçat, de Marcel Lods, de Raymond Fischer, de Bruno Elkouken et de bien d'autres.
Voici 100 de leurs réalisations les plus remarquables - villas, ateliers, hôtels particuliers, immeubles d'habitation, bâtiments publics... - que la postérité ne reconnaîtra véritablement que bien après leur émergence.
En dépit de la prolifération des publications dont le paysage fait l'objet depuis une quarantaine d'années, nous manquons d'un véritable traité théorique et systématique. Le livre d'Alain Roger comble ce vide.
L'auteur s'attache à exposer, dans une langue accessible au plus large public, les principales questions que soulève, aujourd'hui, la notion, si maltraitée, de «paysage». On trouvera donc ici une histoire du paysage occidental - Campagne, Montagne, Mer -, ainsi qu'une réflexion sur les débats qui divisent actuellement les spécialistes : quels sont les rapports du paysage et de l'environnement? Qu'en est-il de cette mort annoncée du paysage? Quelle politique convient-il de mener dans ce domaine?
L'ouvrage est engagé. Il dit son refus de tous les conservatismes. Il se veut aussi ludique - le paysage peut-il être érotique? - et, surtout, optimiste. L'hommage aux artistes qui, siècle après siècle, ont inventé nos paysages se double d'une confiance fervente en tous ceux qui poursuivront cette aventure esthétique, à condition que nous ne restions pas prisonniers d'une conception frileuse et patrimoniale du paysage.
Paul Tissier a, durant sa brève existence (1886-1926), abordé de nombreux domaines de la création artistique/: peinture, architecture, puis, activité qui consacrera son talent, scénographie de fêtes pour les palaces de la Côte d'Azur et du Sud de la France. Il se positionne dès la fin de la guerre comme un acteur de la Reconstruction. Imaginant la restructuration d'une commune dont il avait déjà peint les ruines, Revigny-sur-Ornain, il réalise des projets de fermes dans la Meuse puis travaille sur l'hôtel des postes de Bar-Le-Duc avant de s'installer en Provence vers 1921, où il va développer un singulier catalogue de maisons modulables d'inspiration régionaliste mêlant architecture traditionnelle et éléments modernes : escaliers extérieurs, toit-terrasses, fenêtres en bande... En 1923, Tissier se voit confier par la Société des grands hôtels de Nice l'organisation de fêtes exceptionnelles à destination de la clientèle fortunée des environs. Russie, Moyen ou Extrême-Orient, Grèce, Rome ou Égypte antique vont servir de thème de départ à l'architecte et scénographe pour élaborer des mises en scène d'un grand raffinement : salles de bal, pompes nuptiales ou funéraires, arcs de triomphe, monuments éphémères, cortèges, joutes navales, feux d'artifices ou illuminations... Paul Tissier organisera en trois ans près de cent fêtes avant de s'éteindre brutalement.
S'épanouissant à Bruxelles, à Barcelone ou à Vienne, l'Art nouveau s'illustre à Paris dès le milieu des années 1890. D'abord dans les beaux quartiers avec des immeubles à l'ornementation profuse destinés à une bourgeoisie avant-gardiste, puis dans la sphère publique pour habiller les stations de métro ou les salles de restaurants. Il en identifie d'ailleurs le type au point de se voir qualifié de « style métro » ou de « style bistrot ». L'engouement est de courte durée, qui s'essouffle après 1910 alors que l'esthétique épurée du cubisme condamne les entrelacs végétaux et les lignes en coup de fouet. Pour faire bonne mesure, on détruira au cours du xxe siècle beaucoup de réalisations Modern Style, et non des moindres.
En voici cependant 100 exemples remarquables : immeubles d'habitation, maisons particulières, théâtres, brasseries, commerces...
Après avoir été pendant longtemps au service de la pratique architecturale, l'histoire de l'architecture est devenue récemment un enjeu dans la légitimation culturelle d'une profession. Cette histoire elle-même, depuis le milieu du XIXe siècle, n'a cessé de gagner en autonomie : problématiques nouvelles, territoires et objets diversifiés posent à l'historien des questions fortes. En retraçant l'histoire de l'architecture jusqu'au développement de ses démarches les plus contemporaines, Gérard Monnier nous aide à mieux comprendre les orientations actuelles d'une discipline dont les enjeux esthétiques, mais aussi sociaux et politiques, se révèlent fondamentaux dans notre monde moderne.
Avec près de 300 entrées, cette abécédaire de l'architecture offre un panorama indispensable des principaux protagonistes au coeur de la création de l'espace moderne. Chaque architecte marquant du XIXe au XXIe siècle est présenté à travers un portrait, une courte biographie, et une description de son oeuvre la plus importante.Comme lors d'une visite guidée privée à travers l'architecture mondiale, vous voyagerez des gratte-ciel de Manhattan à une salle de concert au Japon, du palais Güell de Antoni Gaudi à Barcelone jusqu'au Centre sportif et culturel de Lina Bo Bardi, construit dans un ancien site industriel de São Paulo. Vous découvrirez les structures géométriques et colorées de Gio Ponti, le futurisme aux courbes fluides de Zaha Hadid, les intérieurs lumineux de l'agence SANAA, et l'unique mélange de tradition écossaise et d'élégance japonisante de Charles Rennie Mackintosh.Classées par ordre alphabétique, les entrées abordent aussi les groupes, les mouvements et les styles pour replacer chacun de ces architectes majeurs dans les tendances architecturales plus vastes d'un point de vue chronologique ou géographique, parmi lesquelles le Style international, le Bauhaus ou le courant De Stijl. Avec des illustrations comprenant certaines des meilleures photographies d'architecture de l'époque moderne, voici un outil très riche pour tous les professionnels, les étudiants et les passionnés d'architecture.
La beauté de Paris tient à ses immeubles autant qu'à ses monuments et ses hôtels particuliers. Le promeneur perçoit bien la variété de ce paysage urbain, mais il manque parfois de repères pour en lire les ordonnances et les motifs : riches portails, balcons filants, bow-windows opulents, consoles ornées, mascarons moqueurs et cariatides souriantes.
Cet ouvrage propose de nombreuses clés de lecture à l'usage du piéton de Paris pour lui permettre de mieux voir, de mieux comprendre et de mieux aimer ces façades qui se saluent d'un trottoir à l'autre, d'un siècle à l'autre.
Penser la ville contemporaine revient à se pencher sur les conditions de vie de l'écrasante majorité des Terriens. C'est décrire et analyser les réalités urbaines pour mieux imaginer le futur des villes. C'est aussi se frotter aux mots des experts, qu'ils soient architectes, urbanistes ou encore élus. De " NIMBY " à " bobo " en passant par les " ZFU ", " équilibre spatial " ou encore " gentrification ", l'urbain semble susciter la création de néologismes et autres acronymes plus ou moins opaques.
Ce livre n'entend pas être un simple lexique. Il invite, au gré des mots - " bidonville ", " Dubaï ", " toilettes publiques ", " aéroport " -, à une promenade sur la planète urbaine. Flânant entre réalités et utopies, les auteurs croisent des approches sociologiques, philosophiques, écologiques, juridiques, cinématographiques pour mieux donner à comprendre les ressorts de la vie citadine et inventer les territoires urbains de demain.
Dans cet ouvrage, Bruno Munari détruit le mythe de l'artiste vedette et lui substitue le personnage du designer. Ce recueil de textes brefs, accompagnés de croquis et d'illustrations, présente les diverses spécialisations du design : design visuel, design industriel, design graphique et design de recherche.
Avec sa plume caustique, l'auteur se livre à des critiques impitoyables de la création de son époque, trop statique et trop complexe. Il appelle de ses voeux des formes en mouvement, en transformation et prône la simplicité et l'équilibre, se réclamant ainsi de l'esthétique asiatique.
Dans ces textes regroupés dans les années 1960, Munari annonce les évolutions auxquelles on peut assister aujourd'hui. Celles qui conduisent à des passerelles entre art et design, et qui mettent en avant une création mouvante, générative et en évolution permanente.
Le brutalisme est un style architectural apparu dans les années 1950 qui s'inspire notamment des réalisations de Le Corbusier, en particulier de la Cité radieuse de Marseille (1952). Le terme même désignant le mouvement dérive de l'utilisation du béton « brut de décoffrage », sans ornements ni fioritures. Par la suite, d'autres matériaux, comme le métal, la pierre ou le verre ont pu être intégrés à des constructions se réclamant du même mouvement. Les édifices sont généralement massifs, anguleux et présentent des structures répétitives. Des éléments techniques habituellement dissimulés sont volontiers exposés.
Prospérant à Paris et dans sa périphérie jusqu'à la fin des années 1970, le brutalisme a connu une désaffection au tournant du siècle avant de susciter un regain d'intérêt aujourd'hui.
L'ouvrage présente une centaine de réalisations - immeubles de logements, bâtiments publics, équipements sportifs, ensembles industriels... - offrant autant de contrepoints dans un paysage à dominante hausmannienne.
Si vous vous êtes jamais demandé ce qui passe par la tête des architectes quand ils conçoivent leurs projets, vous serez ravis d'apprendre que vous ne risquez pas de vous retrouver à court de lectures passionnantes pour satisfaire votre curiosité. Votre acharnement sera peut-être récompensé si vous écumez les archives de votre bibliothèque municipale, mais jamais vous n'éprouverez le même plaisir immédiat que celui que vous procurera la Théorie de l'architecture. Ce livre regroupe les écrits les plus importants et les plus marquants consacrés à l'architecture depuis la Renaissance, abondamment illustrés, et classés par ordre chronologique et par pays. D'Alberti et Palladio à Le Corbusier et Koolhaas, les meilleurs traités des plus grands maîtres de l'architecture sont rassemblés ici, toujours accompagnés d'une analyse revenant sur leur contexte et leur importance historiques. Cet ouvrage tout-en-un s'avère absolument incontournable pour tous ceux qui s'intéressent à ce que les architectes désirent transmettre de leur art. Le panorama d'ensemble qui permettra aux plus profanes des novices de se changer en fins connaisseurs!
Quelques années avant la Grande Guerre, l'avenue des Champs-Élysées est choisie par les marques automobiles et les industries du luxe tel le malletier Vuitton et le parfumeur Guerlain qui y font édifier de superbes immeubles Art nouveau.
Dans les années 20, la haute couture s'installe dans le quartier, les halls d'exposition de voitures, les sièges des banques et de sociétés rivalisent de raffinement, des boutiques et passages couverts d'un faste inédit sont créés et les salles de cinéma abondent. Cet enchantement architectural va illuminer « la plus belle avenue du monde » et c'est à ce monde ;
Marqué du sceau du prestige et de la beauté qui font toujours la renommée de Paris et de la France, que ce livre est dédié. L'ouvrage est introduit par une préface de Nadine de Rothschild qui nous fait partager ses souvenirs des ChampsÉlysées.
Situés à flanc de coteaux à l'ouest de la Seine, les anciens villages de Passy et d'Auteuil se muent entre la Belle Époque et l'avant-guerre de 1939-1945 en quartiers élégants où interviennent les plus grands architectes français de l'époque, d'Hector Guimard à Le Corbusier, des frères Perret à Henri Sauvage.
C'est le temps de toutes les audaces : Robert Mallet-Stevens construit la rue cubiste qui porte son nom, Joachim Richard associe le béton armé à la beauté des palais vénitiens, de nouveaux lieux inédits naissent à l'image des jardins du Trocadéro, du square de l'Alboni, des terrasses de la rue Raynouard, d'escaliers monumentaux...
Le quartier s'épanouit dans une vision de la mode et un art de vivre luxueux qui se veulent classiques mais entretiennent avec une discrétion certaine une grande créativité.
Ce livre propose de découvrir ou de redécouvrir ce magnifique patrimoine Art Nouveau et Art Déco alliant élégance et poésie.
Les propositions architecturales de Gordon Matta-Clark.
Figure majeure de l'art américain des années 1970, Gordon Matta-Clark (1943-1978) a produit, pendant les dix années que compte sa brève carrière, un corpus d'oeuvres d'une grande diversité. Expérimentations sur la matière, installations, performances, découpes architecturales, dessins, films, photographies, ou photomontages témoignent de cette multiplicité de démarches et de mediums explorés. C'est au travers de ses découpes (cuttings) et dissections de bâtiments qu'il s'est fait d'abord connaître, en intervenant sur des immeubles abandonnés et voués à la démolition. Ces spectaculaires découpes ont longtemps prévalu dans les analyses, et ont le plus souvent été considérées comme des attaques portées contre l'architecture.
Pourtant, architecte de formation, Gordon Matta-Clark a surtout cherché à expérimenter, selon ses termes, « les usages alternatifs d'espaces qui sont les plus familiers ». Sur la base de documents d'archives, cet ouvrage propose de lire ses travaux depuis ce point de vue venant de l'architecture, en envisageant les mouvements de sa pensée spatiale et ses enjeux architecturaux, dans tous les lieux singuliers explorés. Que ce soit en découpant les murs, planchers et plafonds de bâtiments abandonnés ; en créant une perspective implicite sous une dalle funéraire ; en installant un abri dans un arbre ; en dessinant des maisons-paniers mobiles ; en construisant un mur à partir de déchets trouvés dans la rue ; en voulant grimper au ciel avec une échelle en corde ou en voulant habiter dans un immeuble ballon, que disent ses projets de son idée d'architecture ?
A stunning visual biography of the life of Walter Gropius, founder of the Bauhaus, and one of the world's most influential architects.
This illustrated biography tells the story of Gropius's life, beginning with his shattering experiences in World War One, his turbulent marriage to the notorious Alma Mahler, the establishment of the Bauhaus, and the tragic death of their daughter Manon. After Gropius's agonized decision to leave Nazi Germany in 1933, the book explores his life in exile in London and then his move to America in 1937, where he lived and worked until his death in 1969.