D'où vient le couteau suisse? Qui se cache derrière la bouche de métro de la porte Dauphine à Paris? Comment les grandes inventions ont-elles influencé les formes des objets qui nous entourent? Quelles possibilités ouvrent l'impression 3D et les nouvelles technologies au design d'aujourd'hui?Historiens de l'art, enseignants, journalistes et spécialistes ont participé à l'élaboration de cet ouvrage unique, pour nous aider à mieux comprendre la façon dont le design agit sur les objets et les pratiques quotidiennes, de la révolution industrielle à nos jours.- Plus de 1000 objets commentés- Des inventions majeures analysées- 150 objets incontournables décryptés- Tous les outils indispensables:repères chronologiques, biographies de designers, illustrations détaillées, glossaire.
Issu des Classiques Phaidon du design, livre en 3 volumes salué par la critique et devenu un classique, ce nouvel ouvrage présente 1 000 des plus célèbres objets du design au monde en un seul volume grand format. Cette sélection unique rassemble des objets du quotidien de créateurs anonymes et des pièces renommées signées par de grands noms du design comme Charles et Ray Eames, Charlotte Perriand, Dieter Rams, Richard Sapper, Hans J. Wegner et Florence Knoll pour n'en citer que quelques-uns. Cette nouvelle édition mise à jour est enrichie de 100 nouvelles entrées, des objets imaginés par des hommes et des femmes venus d'horizons divers et des produits remarquables apparus ces quinze dernières années. Actualisé pour un lectorat contemporain et international, et enrichi de 100 nouveaux objets pour refléter la diversité du design aujourd'hui - Présente à la fois des figures historiques et des stars du design moderne comme Le Corbusier, Alvar et Aino Aalto, Isamu Noguchi, Ronan et Erwan Bouroullec, Lani Adeoye, Faye Toogood et Lindsey Adelman - Chaque entrée, de l'incontournable chaise Tulip signée Eero Saarinen au scooter électrique Bird Zero, est illustrée par une photographie ou un schéma et inclut un texte détaillant le produit, son histoire et son créateur - Un ouvrage de référence pour les amateurs de design, les professionnels comme tous ceux qui s'intéressent à la conception en général
Le design contemporain, quel intérêt ? Le design contemporain, c'est quoi ? Retenir quelques dates repères Ils l'ont fait pour la première fois Connaître les mots clés. Comment approcher le design contemporain ? Renouer les fils avec le passé. Changer sa façon de voir...
Découvrez les intérieurs de soixante décorateurs et architectes d'intérieur contemporains célèbres dans le monde entier. Les maisons et appartements des décorateurs et des architectes d'intérieur sont l'expression de toutes leurs connaissances et de l'expérience acquise en matière de décoration. Intérieurs : chez les plus grands décorateurs et architectes d'intérieur est une visite guidée chez soixante des plus grands créateurs d'intérieur du monde. Cet ouvrage, qui nous offre un aperçu unique du lieu et de la façon dont ces professionnels du monde du design vivent, est une véritable source d'inspiration.
Dans la lignée des ouvrages sur les décorateurs des années 40, 50 et 60/70, ce livre nous plonge dans l'univers des années 80/90. Celles-ci ont été les témoins d'expérimentations inédites dans le monde du design et de l'architecture, celles d'une époque où la beauté et l'élégance classique cèdent le pas à une multitude d'expressions qui échappent à tout classement et à toute hiérarchie. Composé d'une riche introduction qui en donne une vision synoptique et de trente-huit monographies qui décrivent ses multiples visages, ce livre rend intelligible une période exceptionnellement créative et révèle à travers une abondante iconographie, souvent inédite, sa formidable richesse esthétique. Avec l'avènement du post-modernisme, une nouvelle génération de designers se démarque, parmi eux Shiro Kuramata, Philippe Starck, Ron Arad, Bob Wilson, Elizabeth Garouste et Mattia Bonetti. Tous régénèrent la création en refusant l'élitisme de leurs prédécesseurs et en favorisant l'utilisation de nouveaux matériaux. Certains se tournent vers la récupération, comme le groupe Creative Salvage, et proposent des meubles inventifs et provocateurs grâce à la soudure et à l'assemblage. D'autres, réunis en Italie autour d'Ettore Sottsass et de Memphis, allient couleurs et motifs inattendus à l'utilisation ludique du stratifié plastique. Chez les architectes, de nouveaux concepts de bâtiment émergent, ainsi que l'utilisation de matériaux destinés à durer, comme le verre. Glissant jusqu'à la fin des années 90, les réalisations présentées dans ce livre marquent la volonté d'un dialogue entre les références artistiques avec un nouveau rapport à l'aspect industriel, à l'orée du XXIe siècle et de ses innovations technologiques.
Le design japonais présenté pour la première fois à travers le prisme des couleurs traditionnelles.
Les couleurs traditionnelles sont utilisées au Japon depuis le VIIe siècle, initialement pour indiquer le rang et la hiérarchie sociale. Au fil du temps, leur signification s'est élargie. Cet ouvrage présente de manière simple et accessible 200 couleurs (iro en japonais) illustrées par un ou plusieurs objets allant des kimonos du XVIe siècle aux chaises contemporaines en passant par de simples ustensiles de cuisine et des céramiques. Il permet ainsi de découvrir le design japonais de manière approfondie. Écrit par Rossella Menegazzo, co-autrice de l'ouvrage devenu une référence Wa : L'essence du design japonais, cet élégant livre à la reliure japonaise s'adresse à tous les amateurs de design et du Japon.
Rossella Menegazzo est maîtresse de conférences en histoire de l'art de l'Asie orientale à l'université de Milan et titulaire d'un doctorat d'études orientales de l'université Ca' Foscari de Venise. Elle est l'autrice de nombreux textes sur la photographie japonaise, le graphisme et l'art traditionnel ukiyo-e, et commissaire de plusieurs expositions. Elle contribue régulièrement à des journaux italiens avec des articles sur la culture et l'art japonais. En 2017, elle a été décorée par le ministre japonais des Affaires étrangères.
Ces réflexions exprimées sous forme d'un carnet de notes personnelles sont nourries d'anecdotes et d'exemples illustrés. Pour compléter ces thématiques générales, une partie de l'ouvrage se concentre plus précisément sur le design de livres et la conception de couvertures. L'auteur y décrit avec beaucoup de pédagogie et d'humour différentes manières d'aborder ce travail si particulier d'alliance des mots et du dessin.
La question que pose Bunpei Yorifuji pourrait être : qu'est-ce que le design graphique, et comment exercer la profession de graphiste aujourd'hui ? L'auteur propose d'y répondre comme à son habitude, en texte et en image, mêlant dessins pédagogiques et recherche approfondie : un livre à mettre entre les mains de toutes celles et ceux qui cherchent à mieux comprendre le métier de graphiste et d'illustrateur et découvrir toutes les questions transversales qui nourrissent cette pratique au quotidien.
Ce livre rappelle un moment artistique rare, celui où l'Art Déco français a séduit la Chine sous le gouvernement national de Sun Yat-Sen au début des années 1920. À l'Exposition des Arts décoratifs de Paris en 1925, le pavillon chinois retient l'attention tandis que son architecte Liu Jipiao importe peu après l'Art Déco français dans son pays. L'auteur de cet ouvrage s'attache à présenter les influences réciproques sur la mode, la photographie, le cinéma, l'architecture et les arts décoratifs. Les artistes français, à l'image de Süe et Mare, Jacques-Emile Ruhlmann, René Buthaud ou Gaston Suisse s'initient à l'art des laques ou réinterprètent des motifs de l'art chinois tandis que les artistes chinois empruntent les formes géométriques de l'Art Déco en y introduisant leurs idéogrammes.
Éditeur, graphiste, directeur artistique, manipulateur visuel, mais peut-être avant tout typographe et peintre en lettres, Étienne Robial fait partie de ceux qui ont fait considérablement évoluer le domaine du design graphique et des arts visuels depuis les années 1970. Au cours de sa carrière, il a été éditeur et co-créateur des éditions Futuropolis, directeur artistique de Canal + depuis sa création et pendant 25 ans, a imaginé de nombreux habillages télévisuels, il a conçu de nombreux systèmes identitaires pour des marques et des insitutions (M6, PSG, Bercy, CNC) et établit de nombreuses chartes pour la presse (Les Inrocks, L'Équipe). Inventeur du concept d'habillage télévisuel, il a appliqué ensuite sa méthode à d'autres chaînes et génériques d'émissions télévisées. Co fondateur en 1982 de la société de production On/off, il réalise les habillages télévisuels de Canal+ (1984), la Sept (1986), M6 (1987), Show tv (1991), RTL puis RTL9 (1994-1995), Canal+ (1995) et nombreux génériques pour d'autres chaînes. Spécialiste de systèmes graphiques évolutifs, numéros zéro pour la presse, il a réalisé pour la presse les maquettes de nombreux journaux. Dans cet entretien, il revient sur des moments fondateurs de sa carrière en prenant des chemins détournés. Ainsi, il évoque sa rencontre avec le design à travers une passion précoce pour les dominos et les cocottes en papier, puis sa découverte du Bauhaus et de la typographie grâce à son activité de collectioneur monomaniaque. Étienne Robial nous ouvre les portes de son atelier et évoque avec précision comment il est parvenu à faire évoluer notre compréhension du design. Il revient longuement longuement sur sa carrière d'éditeur de bandes dessinées avec Futuropolis (qu'il a cofondé en 1972), son travail sur les systèmes identitaires et sa longue expérience de directeur artistique pour la télévision. L'ouvrage, illustré avec une cinquentaine de photographies en couleur, permettra de donner à voir certains exemples représentatifs du travail d'Étienne Robial et intégrera plusieurs documents d'archive inédits.
Il s'agit toujours de suggérer une conception de la technique fondée sur une notion de « poussée », de concevoir à partir de cette notion comment des inventions peuvent s'installer dans la culture et de distinguer dans cette installation deux moments, celui de l'économie et celui de la découverte. Le livre admet une hypothèse qui n'est sûrement pas des plus fréquentes, savoir que les opérations artistiques sont parentes de la technique et de son histoire. À occuper pareille position nous ne sommes aujourd'hui disposés ni du côté de la technique ni du côté de l'art. L'une et l'autre se posent séparément. Chez les spécialistes de la technique, on ne voit pas d'inconvénient à cette séparation quand bien même elle aboutit à laisser hors du champ le monde pourtant fort appareillé de l'audio-visuel et des médias. Chez les artistes, ce n'est pas négligence mais revendication : tout un ralliement s'est fait autour d'une idée spéculative de l'art qui ne pouvait procéder que d'une prise de distance à l'égard de la chair des techniques. S'il y a une pensée du design au deux sens possibles de l'expression (une pensée qui s'attache à faire cas du design et une pensée qui vient de lui), elle n'est d'aucun de ces côtés. Il s'agit, pour rappeler une formule fameuse, de chercher à lier fonction et forme.
Véritable miroir de la création du XXe siècle, Chess Design présente une documentation exceptionnelle sur les jeux d'échec réalisés par des artistes, designers, architectes et artisans : échiquiers eux-mêmes, mais également dessins d'artiste, plans d'exécution et photographies d'archives. En présentant de manière chronologique près de 300 de ces échiquiers, l'auteur offre un point de vue nouveau sur l'histoire de l'art et son évolution. Art nouveau, sécession, surréalisme, Fluxus, Pop art, la plupart des grands mouvements qui naissent et se succèdent dans les Beaux-Arts trouvent un écho avec ces échiquiers et les 16 forme-sculptures qui les animent. Ces jeux sont également le reflet de l'évolution des techniques et des matériaux utilisés pendant cette période : le bois, le verre, la céramique vont céder la place, dès les années 50, à l'acier, au plastique et aux matériaux composites. À la frontière entre les arts plastiques et les arts décoratifs, ces échiquiers sont réalisés par des grands noms de la scène de l'art, du design ou de l'architecture - Alexandre Rodtchenko, Jean-Michel Frank, Man Ray, Marcel Duchamp, Alexander Calder, ou, plus récemment, Yoko Ono, Robert Filliou, Yayo Kusama, Victor Vasarely, Zaha Hadid, Frank Ghery ou Damian Hirst - comme par des anonymes. La synthèse offerte par l'auteur constitue un travail d'historien précieux et novateur, soutenu par une iconographie à la fois riche et souvent inédite.
Né en 1930 à Paris, José Quiroga fut peintre, dessinateur et décorateur de théâtre. Son travail et son parcours furent marqués par des rencontres et des collaborations avec des metteurs en scène tels que Nicolas Bataille, Jean Bollery. Sa rencontre avec le décorateur Christian Bérard fut déterminante, elle lui donna le goût de l'art et du théâtre.
Né en 1930 à Paris, d'une mère française et d'un père bolivien, José Quiroga fut peintre, dessinateur et décorateur de théâtre. Son travail et son parcours furent marqués par des rencontres et des collaborations avec des metteurs en scène tels que Nicolas Bataille, Maurice Jacquemont, Henri Ronse et Jean Bollery. Sa rencontre avec le décorateur Christian Bérard fut déterminante, elle lui donna le goût de l'art et du théâtre.
En éditant un premier volume intitulé José Quiroga, décorateur de théâtre, les Editions du Regard ont mis en lumière une activité artistique essentielle de Quiroga, mais qui n'a jamais été dissociée d'une autre tout aussi essentielle, plus secrète, plus intime, plus libre, celle de l'artiste peintre, et d'un peintre qui aime à rêver d'ailleurs, ce que révèlent les dessins et les gouaches.
Suivant un processus d'assimilation et de métamorphose où l'on reconnaît l'un des motifs obsessifs de l'oeuvre de Quiroga dans le paysage qui l'entoure, l'absorbe, et dans lequel elle semble se diffuser comme par capillarité. Ce réseau, ne serait-il pas une réponse possible à notre énigme initiale comme suivie par la pointe d'un sismographe, la méticuleuse finesse de la plume, la douce minéralité des gouaches ?
Ce livre sobre et élégant fait découvrir au lecteur la beauté, l'essence et l'impact du design japonais à travers 250 objets emblématiques : des pinceaux de calligraphie aux boîtes bento traditionnelles en bois laqué, en passant par les lampes en papier signées Isamu Noguchi et bien d'autres classiques revisités.
Les objets sont classés par matériaux - bois, bambou, laque ; métal ; céramique, verre, pierre ; papier ; fibres et tissus ; nouveaux matériaux - et le livre est introduit par un avant-propos de Kenya Hara.
L'influence du design japonais est omniprésente dans la culture contemporaine mondiale.
Réédition critique en français d'un ouvrage absolument précurseur et fondamental pour l'inclusion des problématiques sociales, environnementales et des enjeux de durabilité dans les démarches de conception : le manifeste d'une reconfiguration radicale du domaine du design, de ses formes mais surtout de sa mission.
Paru en 1971, publié dans plus de vingt langues, mais indisponible en français depuis 1974, Design for the Real World est, bien plus qu'un classique de l'histoire du design, le livre-manifeste de tout design politique et écologique. Il vise l'inclusion sociale plutôt que le profit monétaire, lutte contre l'asservissement des besoins au marché, prône le respect de l'environnement plutôt que l'exploitation illimitée de la nature et de ses ressources. Cette réédition critique de la traduction française, accompagnée d'essais d'Alison J. Clarke et Emanuele Quinz, offre un aperçu du programme de Victor Papanek : confier au design une mission révolutionnaire, qui, aujourd'hui plus que jamais, révèle son étonnante pertinence.
Charlotte Perriand (Paris, 1903-1999) est une architecte et designer française.
« Créer un équipement aussi subtil, complexe et sensible que le corps de l'homme, réaliser non seulement les données matérielles, mais créer les conditions de l'équilibre humain et de la libération de l'esprit. Voilà notre tâche. » Charlotte Perriand, Des arts appliqués à la vie quotidienne, catalogue de la Triennale de Milan, 1951
Dans les années 1960, des artistes féministes se sont emparées des travaux d'aiguille et ont utilisé la broderie dans leurs oeuvres. Elles ont ainsi permis à cette technique de ne plus être considérée comme un loisir essentiellement féminin et de quitter le domaine artisanal.
De manière académique ou avec une entière liberté, les brodeurs contemporains rencontrés par Charlotte Vannier se saisissent de toutes sortes de supports (toile de coton, photographies, plastique, aliments, grillages) pour réaliser des oeuvres miniatures ou colossales, monochromes ou bigarrées, graphiques, abstraites ou figuratives, délicates ou brutales.
De fil en aiguille présente le parcours de 82 artistes de toutes générations et de tous continents, leurs influences, les défis techniques auxquels ils se confrontent et le message qu'ils souhaitent transmettre à travers leurs oeuvres.
Robert Mallet-Stevens (Paris, 1886-1945), est un archi- tecte et designer français. Mallet-Stevens est en 1929 l'un des fondateurs et le premier président de l'Union des Artistes modernes (UAM), réunissant des artistes décora- teurs et architectes avant-gardistes.
Il fut également un célèbre décorateur de cinéma dans les années 1920 pour Marcel L'Herbier ou Jean Renoir, et professeur à l'École des beaux-arts de Lille.
« Être moderne, c'est être de son temps. » Événement.
- U.A.M. Une aventure moderne 1929-1958 Paris, Centre Pompidou, 30 mai au 27 août 2018 Quelques lieux d'architecture.
- Villa Noailles à Hyères. Commande du vicomte Charles de Noailles, la villa abrite aujourd'hui un centre d'art et d'architecture.
- Villa Collinet, 8 rue Denfert-Rochereau, Boulogne-Billancourt.
- Villa des sculpteurs Jean et Joël Martel, 10 rue Mallet- Stevens, Paris 16 e .
- Immeuble de rapport, 7 rue Méchain, Paris 14 e , accueillant notamment l'appartement-atelier de Tamara de Lempicka.
- Villa Cavrois à Croix (Nord), propriété du centre des monuments nationaux.
Initiée par le mudac - Musée de design et d'arts appliqués contemporains de Lausanne, en collaboration avec la maison d'édition française T&P Work UNit, RADDAR est une revue annuelle de recherche sur le design. Elle s'adresse à tous ceux et à toutes celles qui s'interrogent sur les objets, les espaces, le graphisme, les formes visuelles et les façons de les montrer ainsi que leur circulation, leur histoire, leur évolution technique, leurs significations comme leurs différentes matérialités. Le thème retenu pour cette seconde édition de RADDAR est celui de l'architecture d'intérieur et de l'espace, qui inclut à la fois l'espace privé du domicile et l'espace public du bâtiment, du musée à l'aéroport en passant par le centre commercial. L'historienne du design Penny Sparke est l'experte invitée pour ce numéro.
The first fully illustrated and comprehensive introduction to May Morris's work as an artist, designer and embroiderer, published in association with the V&A.
May Morris (1862-1938), younger daughter of William Morris, was a significant figure in the British Arts and Crafts movement and a pioneer of 'art embroidery'. She ran the embroidery department of Morris & Co., as well as designing textiles, wallpapers and jewellery. May was also an influential teacher and lectured in the UK and America.
May Morris: Arts & Crafts Designer is the first publication to present the full range of May Morris's work and reveals her exceptional skill and originality. It draws together her designs, exquisite embroideries, watercolours, costume and jewellery from museums around the world, and in particular the rich collections of the Victoria and Albert Museum and the William Morris Gallery, London. The book contains more than 180 items in colour and detailed information on their materials and provenance compiled by leading experts. There are also new insights into May's personal life and relationships, her social activism and her support for other craftswomen.
This authoritative and illuminating study places May Morris, whose reputation has been overshadowed by that of her father, firmly among the leading British designer-makers of the Arts and Crafts movement.
A rare and intimate portrait of Albers in the classroom.
Legendary for his tenure at the Bauhaus, Black Mountain College and Yale, Josef Albers (1888-1976) was one of the most influential art educators of the 20th century. Between 1953 and 1955, Albers taught several preliminary design courses at the Ulm School of Design (HfG) in Germany. Swiss photographer Hans G. Conrad (born 1926), then a student at HfG, documented Albers' teaching in an extensive series of over 400 photographs, depicting his lectures to and interactions with the students. These images are published here for the first time in their entirety. Juxtaposed with around 80 works on paper by Conrad from Albers' exercise on "Interaction of Color," they create a multifaceted and lively portrait of Albers in action teaching the fundamentals of art and design.