Tout au long de sa carrière, David Hockney s'est intéressé aux nouvelles technologies et il a exploré différentes façons de faire de l'art, en commençant par son iPhone en 2007 avant d'adopter l'iPad et le stylet en 2010. En pleine pandémie mondiale, il a documenté l'arrivée du printemps, créant 116 nouvelles oeuvres qui font l'éloge du monde naturel. La Royal Academy expose ce nouveau corpus «peint» sur l'iPad puis imprimé sur papier, avec Hockney supervisant tous les aspects de la production.
De juillet à août 2019, la Royal Academy of Art à Londres dédie une exposition à Hélène Schjerfbeck, artiste méconnue en dehors de la Finlande et iconique dans son pays, malgré ses relations avec l'école de Pont-Aven ou encore les artistes de St Ives en Angleterre. Ce catalogue se présente comme une monographie rétrospective de l'oeuvre de cette artiste de la fin du XIXe siècle, de ses premiers paysages naturalistes à ses autoportraits plus poétiques et épurés.
Ce petit ouvrage présente les aquarelles de David Hockney sur le Yorkshire, région anglaise de son enfance dont il est retourné peindre les paysages à partir de 2004.
À Londres, la Royal Academy of Arts consacre une grande rétrospective au peintre belge James Ensor. Organisée par Luc Tuymans, l'exposition relie la vie de James Ensor et son héritage. Mêlant le bizarre au macabre et au fantastique, il a créé durant toute sa vie une oeuvre discrète et fascinante, entre expressionisme et surréalisme.
Considered one of the most important religious structures of the twentieth century, the Chapel of the Rosary in Vence was regarded by Matisse himself as his great masterpiece.