Comme à son habitude, la Fondation Louis Vuitton frappe un grand coup, en exposant les deux plus grandes stars du xxe ?siècle?: Andy Warhol (1927-1987) et Jean-Michel Basquiat (1961-1988)?!
L'artiste-star Andy Warhol a toujours été un modèle pour le jeune Basquiat, mais la rencontre se fait en 1982, par l'entremise du galeriste Bruno Bischofberger, qui présente le jeune «?Samo» à Warhol. Naît alors une longue amitié, et une collaboration intense entre les deux artistes, qui produisent ensemble une centaine de tableaux. Avant que Basquiat ne stoppe brusquement cette collaboration en 1985, après l'exposition new-yorkaise à la galerie Tony Shafrazi, se sentant utilisé et manipulé par l'cône du pop art.
L'exposition permet d'envisager les liens intimes qui unissaient les deux artistes et l'intensité de deux carrières qui résonnent encore.
Beaux Arts Éditions revient sur ces deux enfants terribles de l'art, parcourt l'ensemble de leur oeuvre et en montre le génie incontesté.
Première grande exposition consacrée à la place de la musique dans l'oeuvre de Jean-Michel Basquiat (1960- 1988). La musique est en effet omniprésente dans l'oeuvre de l'artiste new-yorkais, tant dans les symboles, les signes, les représentations des instruments, ou aux références à divers genres musicaux comme l'opéra, la musique classique, le jazz, le be-bop, le hip-hop ou le rap. Pour Basquiat, la musique était un message, notamment dans les échanges culturels transatlantiques et sur le racisme vécu par les artistes noirs. Son engagement au sein de la diaspora africaine et face à la politique raciale aux États-Unis est l'un des fils conducteurs de l'exposition.
Issu de l'Underground new-yorkais, Jean-Michel Basquiat avait à peine vingt ans quand sa peinture expressive lui valut une notoriété mondiale. Les liens d'amitié qui l'unissaient à Madonna, Andy Warhol et Keith Haring sont légendaires. Avant sa mort tragique et prématurée, il a créé une oeuvre passionnée regroupant peintures, dessins et objets.
Beaux Arts Éditions revient sur l'artiste et son rapport à la musique.
Artiste subversif par ses sujets, ses compositions ambiguës et ses innovations plastiques, le Petit Palais consacre sa première monographie française à Walter Sickert, artiste si peu connu en France qui a pourtant vécu entre Paris et Dieppe de 1898 à 1905. Né à Munich, en 1860, Walter Sickert a déménagé avec sa famille en Angleterre à l'âge de huit ans. Son père, artiste, l'initia au travail d'artistes français et britanniques, mais Sickert s'orienta d'abord vers une carrière d'acteur. Il passe à l'art en 1882, étudia brièvement à la Slade School of Fine Art de Londres, avant de devenir l'élève de l'américain James Abbott McNeill Whistler. Sickert est devenu une figure centrale de l'avant-garde artistique britannique, à la fois peintre et critique. Si à ses débuts Walter Sickert peint des sujets singuliers tels que des scènes de music-hall ou, plus tard, des nus dés-érotisés dans des intérieurs pauvres de Camden Town, à la fin de sa carrière, durant l'entre-deux-guerres, Sickert innove en détournant et transposant en peinture des images de presse provoquant le milieu de l'art et le public par ses inventions constante.
Beaux Arts Éditions revient sur sa carrière, dévoile les personnes, les lieux et les événements qui l'ont inspirés, ou encore l'influence de son oeuvre sur des artistes comme Freud ou Bacon.
Né à Paris en 1928 de parents juifs émigrés de Russie, Elliott Erwitt grandit en France et en Italie avant de s'établir aux États-Unis, où il sera remarqué par Robert Capa. En 1953, âgé de tout juste 25 ans, il intègre la prestigieuse agence Magnum et travaillera pour les plus grands magazines américains.
Le musée Maillol retrace les différentes étapes de son oeuvre à travers un ensemble de photographies en noir et blanc, mais aussi en couleurs. Scènes de rue, clichés de personnalités (tels Marilyn Monroe, Truman Capote, Che Guevara, Fidel Castro, Richard Nixon ou Kennedy), photos de chiens les plus improbables, Paris ou New York, etc. Il a une manière d'immortaliser des moments de la vie quotidienne avec un regard qui n'appartient qu'à lui, mélangeant humour et émotion.
À travers une rétrospective complète de son oeuvre, sur des thématiques qu'il a lui-même définies il y a plusieurs années, c'est une invitation à découvrir la sensibilité unique du photographe qui est proposée.
Beaux Arts Éditions accompagne cette rétrospective en replongeant dans la vie et la carrière de ce mythique photographe repéré par Robert Capa et membre de Magnum Photos depuis 1953.
Riche des collections de son cabinet d'art graphique, parmi les plus importantes au monde, le musée d'Orsay dévoile une sélection de ses plus beaux pastels, avec plus d'une centaine de pastels, signés par les plus grands artistes du musée, offrant un panorama exhaustif des principaux courants artistiques de la seconde moitié du xixe ?siècle, de l'Impressionnisme au Symbolisme.
Ainsi, la modernité est-elle abordée par les pastels de Degas, Monet, Caillebotte, Boudin?; l'intimité par Mary Cassatt, Helleu et Vuillard?; le paysage, que le pastel sublime, par les symbolistes?; l'harmonie entre l'homme et la nature (contrepoint à la modernité), à des artistes tels que Fantin-Latour, Osbert, Puvis de Chavannes, Desvallières... Et enfin, les artistes LévyDhurmeret ou Redon évoqueront la rêverie. Une mise en exergue montrant aussi l'extraordinaire plasticité du pastel.
Beaux Arts Éditions revient sur ces artistes, ainsi que sur l'histoire du pastel et la «révolution» qu'il connaît durant la seconde moitié xixe ?siècle (1850-1914).
L'exposition raconte l'histoire de l'un des maîtres de l'affiche, qui pendant six ans réalisa celles des pièces jouées par Sarah Bernhardt. Le tchèque Alfons Mucha (1860-1939), qui débarque à Paris en 1887, était doté d'une ambition humaniste qui se joua en trois actes?:
L'affichiste vedette de Paris au temps de la Belle Époque?;
Au tournant de sa carrière en 1900, lorsqu'il s'implique fortement dans l'Exposition universelle de Paris?; et à travers la présentation de ses oeuvres monumentales, notamment L'Épopée slave, qui développe une vision de l'histoire slave comme modèle pacifiste du monde, qui résonne aujourd'hui plus que jamais.
L'exposition s'intéresse également à son influence permanente?: du mouvement pacifiste Flower Power des années 1960, en passant par les mangas japonais, les super-héros, les artistes de rue ou même dans l'art du tatouage. Les visiteurs sont invités à découvrir l'influence de Mucha en particulier dans la série télévisée ARCANE dont les décors sont inspirés par l'oeuvre de l'artiste.
Immersive et interactive, l'exposition utilise les technologies de projection les plus avancées, dans une scénographie captivante afin de permettre une expérience inédite de l'oeuvre et des influences de Mucha.
Le musée d'Orsay réunit deux grands noms de la peinture des années 1860-1880, Édouard Manet (1832- 1883) et Edgar Degas (1834-1017), qui ont contribué à définir la peinture moderne en France. Cette exposition examine l'un des dialogues artistiques les plus significatifs de l'histoire de l'art moderne?: la relation étroite et parfois tumultueuse entre les deux artistes.
En présentant leurs oeuvres côte à côte, cette exposition étudie comment leurs objectifs et leurs approches artistiques se chevauchaient et divergeaient. Ainsi, se retrouvent-ils autour des sujets qu'ils abordèrent (des courses de chevaux aux scènes de café, de la prostitution au tub, etc.), les genres qu'ils réinventèrent, le marché et les collectionneurs qu'ils parvinrent à apprivoiser, les lieux (cafés, salles de spectacle) et les cercles, familiaux (Morisot) ou amicaux, où ils se croisèrent.
Mais elle montre aussi leurs choix opposés, en matière de carrière ou d'exposition Beaux arts Éditions interroge leurs interactions dans le contexte des relations familiales, des amitiés et des cercles intellectuels qui ont influencé leurs choix artistiques et professionnels, participant ainsi à notre compréhension d'un moment clé de la peinture française du xixe ?siècle.
On pensait avoir tout dit, tout vu de Matisse et pourtant, le musée de l'Orangerie propose de s'attarder sur la décennie 1930, une décennie charnière dans l'oeuvre du maître, qui n'avait jamais été jusque-là étudiée en tant que telle. L'exposition, dont la première étape s'est déroulée à Philadelphie, nous plonge dans le processus même de l'artiste qui a totalement renouvelé sa démarche artistique dans la toute dernière partie de sa carrière, qui revient des États-Unis avec une vision élargie du monde, qui a eu des effets durables. C'est durant ces années, qu'il est promu à Paris par la revue Cahiers d'art, qu'il affronte Picasso à la galerie Paul Rosenberg tandis que ses peintures radicales d'avant la Première Guerre mondiale sont vues chez Paul Guillaume, qu'il assiste à l'organisation de différentes rétrospectives et qu'il travaille à son art à Nice. Cette décennie 1930 est entrée dans l'histoire comme le creuset d'une fascinante transformation moderniste.
Beaux Arts Éditions accompagne l'exposition en racontant ces dix années exceptionnelles dans l'oeuvre et la vie d'Henri Matisse, les innovations et les bouleversements qu'il met en place.
Première grande rétrospective parisienne depuis son exposition en 1956, au musée national d'Art moderne, Germaine Richier (1902-1959) est pourtant l'un des plus grands sculpteurs du xxe ?siècle. Quelque peu délaissée, elle a pourtant créé, en à peine 25 ans, une oeuvre d'une très grande force.
Après des études à l'école des Beaux-Arts de Montpellier, elle rejoint Paris, où elle devient l'élève d'Antoine Bourdelle. Son oeuvre est alors relativement classique, contrastant avec les oeuvres à venir. L'artiste a connu les tourments des deux guerres mondiales et a été profondément touchée par les tragédies qui en découlent et son oeuvre s'en fait l'écho. Ainsi dès 1940, elle réalise Le Crapaud, qui annonce une esthétique nouvelle où se mêleront mondes animal, humain et végétal. Dès 1946, ses sculptures se parent d'armatures de fils métalliques se nourrissant d'éléments de la nature (pierres, morceaux de bois ou objets récoltés sur les plages). Enfin, dans les années 1950, elle expérimente de nouvelles techniques dans ses expressions plastiques en introduisant de la cire, du plâtre ou du plomb...
Beaux arts Éditions montre l'originalité de sa démarche artistique et la singularité de son langage plastique.
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L'exposition sera le reflet du salon qui, de 1951 à 1982, s'est tenu au musée d'Art Moderne puis au musée Galliera, à Paris. Ce salon avait ceci de particulier que chaque année les artistes invités devaient proposer des oeuvres illustrant un thème en rapport avec l'homme et son environnement. Le bonheur, le travail, l'amour... Seront donc rassemblées au Musée Jean Couty une centaine d'oeuvres ayant marqué les trente années d'un salon qui fût le plus visité de Paris, à travers peintures, dessins, affiches, lithographies... L'occasion de découvrir des oeuvres inédites ou rarement exposées. Braque, Matisse et Picasso, bien sûr, mais aussi Jean Couty lui-même, Mentor, Brayer, Ambrogiani et tant d'autres. Beaux Arts Éditions témoigne et commente cette période exceptionnellement riche en chefs-d'oeuvre, mais surtout en expression de courants novateurs à l'aide de documents d'archives passionnants dans cette publication tenant lieu de catalogue.
Our ses 40 ans, le LaM consacre à l'artiste nippoaméricain, sa première rétrospective en France. Surtout connu pour ses lampes Akari, devenues iconiques, Isamu Noguchi (1904-1988) est pourtant l'un des plus grands sculpteurs du xxe ?siècle. D'origine japonaise par son père, poète, et américaine par sa mère, écrivaine, Noguchi passe son enfance au Japon avant de regagner les États-Unis à l'adolescence où il se forme très tôt à la sculpture. Noguchi n'aura eu de cesse sa vie durant de voyager et de se nourrir de la culture des pays qu'il traversa (Chine, Japon, Italie, Mexique, etc.). Il fut l'élève de Brancusi, qui bouleversa sa vision artistique quelques années plus tôt, dans le Paris des années 1920, où il fréquenta tous les artistes d'avant-garde. Ces nombreux échanges l'incitent à expérimenter différents médiums, s'inspirant de milles sources, il oscille ainsi du portrait à l'envolée abstraite, du mobilier à l'aire de jeu, car c'est avant tout l'espace qu'il sculptait, plutôt que la pierre ou le bois. Noguchi crée une oeuvre subtile, audacieuse et radicale, entre Orient et Occident, entre tradition et modernité, devenant ainsi la figure de l'artiste total.
Beaux Arts Éditions s'attache à présenter son oeuvre, son engagement politique et sa volonté de décloisonner les arts.
Partiellement présentée au Victoria & Albert Museum de Londres en 2018, l'exposition itinérante s'arrête au Palais Galliera. Elle dévoilera une extraordinaire collection d'objets personnels, mais aussi de vêtements appartenant à l'emblématique artiste mexicaine Frida Kahlo (1907-1954) et offrira un aperçu puissant de la façon dont Frida Kahlo a construit sa propre identité.
En 1954, après sa mort, les biens de Frida Kahlo ont été enfermés dans la Casa Azul (Maison Bleue) à Mexico, sa maison de toujours. Un demi-siècle plus tard, sa collection de vêtements, bijoux, cosmétiques et autres objets personnels est redécouverte. L'exposition offre une nouvelle perspective sur l'histoire de la vie de l'artiste, dont le charisme et le sens puissant du style continuent de captiver. Le musée de la mode exposera en parallèle une capsule contemporaine où une vingtaine de silhouettes des plus grands couturiers (Gaultier, Gucci, etc.) rendront hommage à Frida Kahlo et son oeuvre. Beaux Arts Éditions revient sur la manière dont Frida Kahlo a soigneusement façonné son image afin de véhiculer un message politique tout en dissimulant son corps meurtri?; sans oublier évidemment l'artiste derrière le personnage.
Acrobates, musiciens, animaux fantastiques, couleurs éclatantes et amoureux en lévitation... L'Atelier des Lumières plonge dans l'univers onirique et foisonnant de Marc Chagall (1887-1985). Si l'exposition se concentre sur la période entre Paris et New York, qui excelle dans son style et son génie, l'exposition aborde les thèmes fondamentaux de l'oeuvre de Chagall?: la guerre, l'amour, la musique, le cirque, la Bible...
Originaire de Vitebsk, imprégné de culture juive et de folklore russe, l'artiste, qui traversera de terribles conflits et aura une vie de nomade, connaît un destin hors du commun. Ce trajet le mène à la notoriété en France et en Allemagne, dès les années 1920, au succès international dans les années 1940, puis à la postérité.
Identifiable au premier coup d'oeil, Chagall demeure cependant inclassable, irréductible à un mouvement ou à une catégorie esthétique. S'il a «?frôlé?» les avantgardes, ce ne fut jamais au détriment de son langage plastique ni de ses thèmes favoris.
Beaux Arts Éditions donne des clés de lecture au spectateur et lui dressera un panorama succinct mais complet de l'époque. Des photographies in situ viendront expliciter le spectacle et un portfolio mettra en valeur les chefs-d'oeuvre de Chagall.
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Le musée présente l'exposition « L'Univers sans l'homme », expression que l'on doit à Charles Baudelaire en 1859, qui désignait et déplorait ainsi la tendance qu'avaient certains artistes de son temps à se concentrer exclusivement sur la nature et ses éléments - végétaux, mers, ciels, bêtes... Dans son viseur, les réalistes comme Courbet, Troyon ou Daubigny, et les pionniers de la photographie. L'exposition et Beaux Arts Éditions racontent un décentrement du regard en rassemblant tableaux, dessins, films et installations, du xixe siècle à nos jours, qui ont choisi de s'écarter de la représentation, de la focale, de l'échelle humaine. On y verra donc des catastrophes spectaculaires, des expéditions dans des espaces inexplorées, des villes dépeuplées, des galaxies abstraites ou encore des fantaisies robotiques. Ils s'attachent aussi à des thématiques contemporaines et à leurs angoisses afférentes, comme la pandémie et ses confinements, les risques nucléaires et la cause environnementale. Néanmoins, ils cherchent aussi à offrir des perspectives nouvelles avec un final cosmique, tellurique et poétique autour de Monet, Bergman ou Mitchell. Une publication, qui tient lieu de catalogue, au carrefour de l'art, des sciences et de la philosophie.
Il n'avait pas eu d'exposition depuis 10 ans... Le musée d'Orsay consacre une grande rétrospective au peintre des tourments intérieurs et de l'angoisse existentielle, de la vanité de l'amour et de l'inéluctable solitude des hommes. Acteur de la bohème de Christiana - l'actuelle Oslo -, génie de la peinture, ami d'August Strindberg, voyageur infatigable, Edvard Munch (1863-1944) rompt très tôt avec le naturalisme pour explorer une voie plus symboliste, après avoir rencontré Stéphane Mallarmé lors d'un séjour à Paris. Ses toutes premières toiles sont très inspiréesdes impressionnistes, de Degas ou de Caillebotte, mais aussi de Gauguin, Toulouse-Lautrec, Whistler ou Redon. Après avoir épuisé la voie de l'expressionnisme, il peint jusqu'à la fin de sa vie dans une veine plus réaliste, libérée de ses tensions intérieures. Il reprendra constamment thèmes et compositions en peinture, en gravure ou en lithographie. Participant sans aucun doute de l'avant-garde, la photographie jouera un grand rôle dans son travail et il inspirera nombre d'artistes (Bacon, Warhol) et de cinéastes (Murnau, Bergman et Lars Von Trier). Beaux Arts Éditions revient sur son oeuvre, en analyse chaque période et montre comment il a participé à la modernité.
À l'aube de la Seconde Guerre mondiale, Fred Samuel créa ce qui deviendra l'une des plus prestigieuses maisons de haute joaillerie au monde. Au service des grands noms de la royauté et de Hollywood (il créa le bijou de Julia Roberts dans Pretty Woman), il a su se faire une place de choix sur la place Vendôme et fut le premier à introduire et à utiliser la perle de culture en France.Conçue comme un voyage à travers l'histoire de la maison Fred, l'exposition montrera le soleil d'or, soit l'une des 50 plus belles pierres précieuses du monde qui sera présentée à l'intérieur d'un écrin gigantesque. L'une des salles du musée sera consacrée au thème de la marine, chère au coeur du joaillier, une autre abritera la reconstitution de l'arrière-boutique du magasin de la rue royale, puis une autre encore fera le lien entre les différents magasins du monde entier. Certaines salles immersives plongeront le visiteur dans un monde de couleurs qui rappelleront le large spectre qu'utilise Fred dans ses créations.Conçu main dans la main avec la maison Fred, notre édition mettra en lumière ces 85 ans de création à travers des dessins, documents d'archives, photos d'époques et photos de célébrités portant ces bijoux iconiques. Beaux Arts Éditions aura à coeur de refléter l'esprit de la maison Fred à travers la plume d'auteurs spécialistes de la haute joaillerie.
Il a été un peu le mal aimé des musées, oublié depuis 1961, cantonné à sa petite fondation du VIIe arrondissement parisien qu'avait créé la fidèle Dina Vierny. Maillol le classique est de retour pour une juste remise en perspective. D'abord peintre et passionné de décor, notamment de tapisserie, proche des Nabis et de Rodin, le sculpteur fut l'un des chantres du « retour à l'ordre » sa sculpture puisent ses sources dans la culture antique, réinterprétée tout en rondeur et suavité. Dans une perpétuelle quête de la perfection.
Beaux Arts Éditions revient sur le rôle crucial qu'Aristide Maillol à joué dans la naissance de la modernité au début du XXe siècle, sur l'ensemble de sa carrière en mettant l'accent sur la période féconde et méconnue de l'avant-première guerre mondiale. L'album révèle une nouvelle vision de son processus créatif, notamment grâce à la découverte de dessins et carnets de croquis inédits.
Première rétrospective parisienne et seconde exposition solo en France pour cette artiste praguoise. Née Marie Cermínová (1902-1980), l'artiste prend très tôt le nom de Toyen, dérivé du français « citoyen » et rejoint le groupe d'avant-garde praguois « Devetsil ». Ce dernier prône le poétisme, un accord entre la peinture et la poésie, qui sera la clef de toute son oeuvre. Après la seconde guerre mondiale, Toyen se fixe à Paris où elle se joint aux surréalistes français. Proche d'André Breton et Benjamin Péret elle appartient à cette catégorie d'artistes que Breton qualifiait de « calqueur de rêves ». Ses oeuvres, aussi poétiques que provocantes, oscillent entre le réel et l'imaginaire, le séduisant et le cryptique...
Beaux Arts Éditions évoque l'oeuvre originale et forte de Toyen, sa personnalité engagée, « rebelle » et rêveuse, son histoire entre la Tchécoslovaquie et la France, ses collaborations et montrera à la fois ses peintures et dessins mais aussi son vaste travail d'illustration, ses collaborations cruciales avec les surréalistes (de Prague à Paris), ses oeuvres érotiques et oniriques pour embrasser tout son oeuvre. Une artiste majeure qu'il était temps de remettre sur le devant de la scène !
L'histoire du Musée Matisse de Nice est étroitement liée au profond attachement d'Henri Matisse pour Nice, cité dans laquelle il réalisa la plus grande partie de son oeuvre. Lorsqu'en 1950, la Ville de Nice acquiert la Villa Garin de Cocconato, également appelée Villa des Arènes, à deux pas de la résidence du maître, au Regina, l'idée fit son chemin d'en faire un lieu où seraient présentées à la fois les donations faites par le peintre lui-même ainsi que celles de ses héritiers. C'est ainsi que le 5 janvier 1963 est inauguré le Musée Matisse de Nice. La collection du Musée Matisse de Nice est unique au monde dans la mesure où elle réunit un ensemble d'oeuvres et d'objets issus de la collection de l'artiste et de ses héritiers. La plupart de ces oeuvres et de ces objets proviennent directement de l'atelier d'Henri Matisse, et constituent donc un témoignage exceptionnel.
Beaux Arts Éditions raconte l'histoire, à la fois d'un lieu, d'un immense artiste et revient sur les oeuvres les plus marquantes d'un des plus grands peintres du XXe siècle.
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En 2004, Lille devenait Capitale Européenne de la Culture. Cet événement hors normes a durablement changé la ville, la région et son dynamisme culturel. Après Bombaysers de Lille (2006), Europe XXL (2009), Fantastic (2012), Renaissance (2015) et Eldorado (2019), c'est au tour d'Utopia, la 6e édition thématique de Lille3000 d'apporter à Lille et sa région, une effervescence toute particulière. À l'heure du changement climatique et des enjeux environnementaux, Utopia s'intéressera aux liens qui unissent l'Homme aux vivants. Plutôt que de perpétuer la conception anthropocentriste du monde, Utopia proposera des visions d'artistes, d'inventeurs, de créateurs et de scientifiques qui interrogent la hiérarchie entre les hommes et la nature. Comme à chaque grande édition, Utopia impliquera les habitants jusque dans leur quotidien au travers de projets d'envergure, d'expositions, de spectacles, métamorphoses urbaines, événements inédits et conférences... Fidèle partenaire de la manifestation, Beaux Arts Éditions accompagnera cet évènement de grande envergure à travers une édition exclusive illustrant et expliquant toutes les manifestations qui font de Lille3000 un rendez-vous incontournable et haut en couleurs.