Filtrer
Perrotin
-
Cette première monographie de l'artiste française installée à Los Angeles, célèbre pour son approche figurative et engagée dans laquelle le corps est le sujet central, présente une large sélection de ses oeuvres (de nombreuses peintures et dessins présentés sur des papiers différents, et quelques sculptures) ainsi qu'une douzaine vues d'exposition. Elle est accompagnée de deux textes critiques originaux écrits par Anna Katherine Brodbeck et Annabelle Teneze, ainsi que de douze citations choisies par l'artiste (Jorge Luis Borges, Alice Neel, Pierre Guyotat, Georges Bataille, Marguerite Yourcenar, Sebald, Oscar Wilde, Adonis, Agnès Martin...) qui ouvrent chacune des parties.
-
Réalisé à l'occasion de l'exposition éponyme à la galerie Perrotin à Paris, cet ouvrage monographique présente de nombreuses oeuvres de Julio Le Parc, dont ses tableaux les plus récents, témoignant d'un intérêt intact pour l'étude de la lumière et du mouvement. La publication comprend également un texte de Hans Ulrich Obrist, un entretien conduit par Jérôme Sans et une chronologie écrite par l'artiste.
« L'art de Julio Le Parc déborde d'une énergie sans limites. Dans son atelier de Cachan, en banlieue parisienne, l'artiste dégage une impression de jeunesse et d'expérimentation perpétuelle. Né en Argentine en 1928 et installé en France, il est célèbre pour son utilisation de la lumière à travers des projections, des mouvements et des reflets dans des oeuvres d'art qui donnent une impression de flux constant et témoignent d'une énergie aussi vive aujourd'hui qu'à l'époque de leur création. Au coeur de sa pratique se trouve le désir de mettre en question notre rapport à l'art et la manière dont on le perçoit, bouleversant ainsi notre vision des rôles joués par l'artiste, par le spectateur et par l'institution, mais aussi une croyance profonde dans le potentiel d'insurrection de l'art. Dans une note publiée sur Instagram au moment de sa dernière exposition à la Serpentine Sackler Gallery, à Londres, en 2014, il écrivait : «Optimismo siempre» (l'optimisme toujours), une idée dont son oeuvre ludique et irrévérencieuse se fait l'écho. » Hans Ulrich Obrist.